De Besançon à Champlitte, et de Luxeuil à Dole, la Renaissance a laissé en Franche-Comté une riche architecture dont elle doit se réjouir. La lente évolution vers le classicisme est un temps troublée par le maniérisme de Hugues Sambin, qui tend à effacer l’influence flamande des Carondelet et des Granvelle.